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Le cinéma et l'Astronomie

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AGORA


Titre d'origine : Agora
Réalisation : Alejandro Amenábar
Scénario : Alejandro Amenábar, Mateo Gil
Musique : Dario Marianelli
Direction de la photographie : Xavi Giménez
Montage : Nacho Ruiz Capillas
Décors : Guy Hendrix Dyas
Costumes : Gabriella Pescucci
Pays d'origine : Espagne, Malte
Langue de tournage : anglais
Tournage extérieur à Malte : Delimara, Fort Ricasoli de Kalkara, Marsaxlokk, Mdina et La Valette
Producteurs : Alejandro Amenábar, Álvaro Augustín, Fernando Bovaira
Sociétés de production : Mod Producciones (Espagne), Himenóptero (Espagne), Telecinco Cinema (Espagne), Canal+ España, Cinebiss (Malte)
Société de distribution : Mars Distribution (France)
Format : couleur par DeLuxe — 35 mm — 2.35:1 (Scope) — son Dolby Digital SDDS DTS
Genre : péplum, film historique
Durée : 126 minutes
Dates de sortie :
France : 17 mai 2009 au Festival de Cannes
Espagne : 9 octobre 2009
France : 6 janvier 2010 (sortie nationale)

 

Agora est un péplum philosophique hispano-maltais réalisé par Alejandro Amenábar et sorti en 2009.

De 391 de notre ère à 415, Agora prend pour noyau narratif l'histoire d'Hypatie d'Alexandrie, mathématicienne, astronome et philosophe qui, dans le film, s'évertue à déterminer les lois exactes qui régissent le déplacement de la Terre au sein du système solaire, l'héliocentrisme.
Davus, un esclave égyptien, est au service de la philosophe et astronome Hypatie d'Alexandrie. Amoureux de sa maîtresse, elle-même agnostique, il se convertit pourtant au christianisme sous l'influence d'Ammonius, membre d'une caste de moines-soldats appelés les parabolani, faisant office de milice aux ordres de Cyrille.
Parmi les élèves d'Hypatie, le païen Oreste et le chrétien Synesius sont des jeunes gens de familles aisées, promis à des postes élevés. Oreste lui déclare sa flamme en public mais elle refuse d'être inféodée à un homme, préférant se consacrer à l'étude. Peu après, des escarmouches éclatent entre païens et chrétiens, ces derniers prenant de plus en plus d'ascendant dans l'Empire romain d'Orient.
Des années plus tard, les conflits religieux se sont envenimés. Le pouvoir grandissant du nouveau patriarche Cyrille menace l'autorité impériale, représentée par le préfet Oreste. Celui-ci, amoureux dans sa jeunesse d'Hypatie s'est converti au christianisme, sans pratiquer l'intolérance des autorités religieuses. Il est déchiré entre son attachement à la philosophe et les considérations de la realpolitik. L'intrigue prend un tournant dramatique, tandis qu'Hypatie est sur le point de faire une avancée spectaculaire dans la compréhension du mouvement des astres. En effet elle a déjà l'intuition que la Terre tourne au tour du Soleil avec des orbites elliptiques!

 

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IMAX HUBBLE 3D

 


Copyright IMAX
Année2010
Titre orig.Imax: Hubble
Pays Canada
Genre Documentaire
Durée0:40
Réalisé parToni Myers
En vedette
Leonardo DiCaprio
Gregory C. Johnson
Michael J. Massimino
John M. Grunsfeld
Scott D. Altman
K. Megan McArthur
StudioIMAX
 

Lors du dernier vol de navette vers le télescope spatial Hubble en mai 2009 (Atlantis, STS-125), les astronautes disposaient d'une caméra IMAX 3D pour filmer leur mission. Les séquences en relief ainsi obtenues constitueront un des points d'orgue du documentaire Hubble.

 

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L'OEIL DE L'ASTRONOME - SORTIE NOVEMBRE 2011

 

Eté 1610. Un des premiers télescopes inventés par Galilée arrive enfin à Prague, la capitale de l’Empire Germanique.
Pendant dix nuits Jean Kepler, astronome de Rodolphe II, peut enfin explorer le ciel à l’aide de la nouvelle invention et voir ce que personne encore n’a jamais vu. La terrasse où Kepler installe son observatoire devient le lieu où la cour impériale se donne rendez vous. Nuit après nuit, on y vient comme au spectacle, regarder dans le télescope, assister à la dissection d’un oeil humain, comploter contre l’empereur. Au coeur de cette agitation, Jean Kepler, inclassable et inlassable, trace sa voie singulière entre la science et la superstition, la liberté et l’intolérance...

 


 

Avec Denis Lavant 
Sortie prévue courant 2011


Quelques notes sur l’image du film 
Eté 1610. Une des premières lunettes astronomiques inventées par Galilée arrive enfin à Prague. Jean Kepler, astronome de l’empereur Rodolphe II, aura dix nuits pour découvrir dans le ciel des choses que personne n’y a jamais vu et explorer les mystères de la nouvelle invention. Dix nuits où l’astronomie bascule dans la capitale d’un empire qui vacille.


 


L’Œil de l’astronome
 est un film nocturne. Un film éclairé seulement par les rayons de la lune et les flammes des lampes à huile et des bougies… Pour travailler en lumière naturelle comme le souhaitait Stan Neumann et capturer de telles ambiances, nous devions trouver un outil nous permettant de travailler à 2 500 ISO au minimum. 
Au moment du tournage, parmi les outils compatibles avec l’économie du film, seuls les appareils photos semblaient proposer de telles sensibilités. Des essais furent réalisés avec les appareils Nikon D3S (dont les fichiers se sont révélés incomplets), le Canon 5D (capteur 24 x 36 qui ne pouvait, à l’époque, tourner à 24 ou 25 i/s), le 7D (capteur 22 x 15 APS-C de la taille du super 35, générant beaucoup de bruit en haute sensibilité) et finalement le 1D Mark IV qui fut disponible 10 jours avant le tournage. On a le télescope de Galilée qu’on mérite…

Le Canon 1D possède un capteur 28 x 18 (APS-H) qui, en surface, est à mi chemin entre celui du 5D et celui du 7D. Il nous a semblé générer le bruit le plus tolérable à forte sensibilité. Une semaine de tests nous a permis de peaufiner nos réglages. Nous tournerons donc à 3 200 ISO et à 2 1/2 Ø. Nous nous sommes même permis de tourner certains plans à 12 800 ISO ! Légèreté illusoire. Ergonomie désastreuse. Retard de l’affichage dans la visée. Forte compression des images… Ces outils sont sans avenir pour le cinéma ! Cependant, les performances de ces nouveaux capteurs " grand-format " de plus en plus sensibles nous permettent d’entrevoir les révolutions à venir. 
Nous voilà donc partis avec une cargaison de bougies, quelques maigres projecteurs et un générateur de flicker dans une mine désaffectée du nord de la France.

Stan Neumann voulait une image très construite et formelle. Cela tombait bien : la très faible profondeur de champ de notre " dispositif " nous imposait des places précises et des mouvements soignés et contrôlés. La machinerie fut donc très classique (rails, dolly et grue) et les plans très répétés. 
Les bougies furent parfois notre seule source de lumière pendant des journées entières… Parfois, nous n’en mettions qu’une… Parfois même, nous la cachions derrière un Depron pour la diffuser ! 
Pour la lune : une " mandarine " perchée au plus haut de notre décor (8 mètres) nous éclairait encore trop. Nous devions l’habiller d’une diffusion, d’un 0.6 ND et d’un peu de bleu pour obtenir la bonne couleur et le bon niveau. 
La voûte céleste faisait défaut. Des plans tournés sur fond vert nous ont permis de l’incruster en postproduction. La pauvreté des fichiers H264 générés par le Canon 1D a parfois rendu cette opération délicate. La constance de notre éclairage nous ayant permis d’obtenir une qualité de fichiers régulière, il fut très agréable de rechercher une " matrice " d’étalonnage qui convienne pour à peu près pour tout le film. 
Une légère réduction du bruit coloré fut la dernière étape de l’étalonnage. Des chenilles shootées sur Arri-Laser par le laboratoire Eclair nous ont confortés sur la fiabilité de notre chaîne.

Produit par Les Films d’ici

Equipe image 
Assistante caméra : Marie Demaison 
Chef électricien : Laurent Bourgeat 
Chef machiniste : Temoudjine Janssens 
Trucages : David Haddad et Jean-Baptiste Lefournier 
Etalonnage : David Haddad

 

Tournage du long métrage L'ŒIL DE L'ASTRONOME:

 

 

NOSTALGIE DE LA LUMIERE

 


Réalisation et scénario : Patricio Guzmán
Image et cadre : Katell Djian
Prise de son : Freddy González
Montage : Patricio Guzmán et Emmanuelle Joly
Supervision du montage : Ewa Lenkiewicz
Musique originale : Miranda & Tobar
Langue : espagnol
Durée : 90 minutes
Dates de sortie : 27 octobre 2010 (France)

 

 

« Nostalgie de la lumière » est à la croisée des chemins entre archéologues et historiens à la recherche de l’héritage d’une civilisation indienne, astronomes scrutent le lointain passé de notre Univers à l’aide des célèbres observatoires dont notamment celui de la Silla, du Cerro Paranal équipé du fameux VLT. C’est également un lieu de mémoire pour les proches des victimes du régime d’Augusto Pinochet.

Ce lieu dont il est question dans le film de Patricio Guzmán n’est autre que le désert d’Acatama, réputé pour être le plus aride du monde, offrant l’un des ciels les plus limpides.

Le réalisateur, lui-même ancien prisonnier de la dictature chilienne avant de s’installer à Cuba, puis en Espagne, pour rejoindre finalement la France, signe avec Nostalgie de la lumière (Nostalgia De La Luz, le titre original), une oeuvre poétique avec des images absolument grandioses de notre voûte céleste, ainsi que des témoignages bouleversants de familles et proches des victimes ayant été exécutées et abandonnées dans ce lieu tellement hostile à toute forme de vie.

Le point commun entre ces astronomes, familles des victimes de Pinochet et autres paléontologues et archéologues est la recherche du passé. La quête de ce dernier est nécessaire pour mieux appréhender le présent et l’avenir…

Si vous souhaitez en savoir davantage, le documentaire de Patricio Guzmán est disponible depuis le 3 mai 2011 en France, il est accompagné de cinq courts métrages inédits représentants un total de 81 minutes de bonus.

Nostalgie de la lumière est une sélection officielle du Festival de Cannes 2010 et a été récompensé Meilleur documentaire 2010 par l’European Film Academy.

 

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Documentaire

 


La révolution de la terre (histoire de l'astronomie)


De Copernic à Newton, l'histoire d'une révolution astronomique qui bouleversa notre vision du monde.
En 1543, l'astronome polonais Nicolas Copernic ose affirmer que la Terre n'est pas le centre immobile du monde, mais une planète en orbite autour de l'astre solaire, qui est, lui, le véritable noyau de l'univers. Cette notion hérétique d'une Terre en mouvement, en totale opposition avec la thèse aristotélicienne, l'a mené à une âpre confrontation avec l'Église. Il faudra attendre près de trois siècles pour que, dans les années 1820-1830, celle-ci s'incline et reconnaisse sa défaite. Le documentaire replace cette extraordinaire révolution dans l'Europe de la Renaissance, et rappelle comment la nouvelle image de l'univers a réussi peu à peu à s'imposer, au fil de batailles féroces avec l'Église, grâce à de grands scientifiques comme Tycho Brahe Kepler, Galilée et Newton.
(Danemark, 2008, 52mn)
ARTE F
Réalisateur: Lars Becker-Larsen

 

Documentaire en Streaming : (cliquer 2 fois sur le bouton lecture)

 

 

 

GALILE OU L AMOUR DE DIEU

 


Réalisateur : Jean-Daniel Veraeghe
Premier assistant : Ferdinand Veraeghe
Scénario : Claude Allègre, Jean-Claude Carrière
Image : Jean-Claude Larrieu
Costumes : Bernadette Villard
Décors : Chantal Giuliani
Musique : Carolin Petit, musique interprétée par le Budapest Symphonic Orchestra dirigé par Bela Draltos
Montage : Laurence Hennion
Son : Jean-Luc Ruault-Cheynet
Production : Jean Nainchrik, Sept Production.

 

 

La première originalité de ce film de Jean-Daniel Verhaeghe, réalisateur de La Controverse de Valladolid, aussi anecdotique soit-elle, réside dans le fait que l'ex-ministre Claude Allègre est l'auteur du scénario et des dialogues.
Le film met en scène Galilée, incarné par un remarquable Claude Rich, et le procès qui lui a été intenté en 1633. Il en résulte une véritable réhabilitation du procès Galilée, loin du cliché « Et pourtant elle tourne ». Cette réalisation permet ainsi de se forger une idée juste de l'avancée des sciences, de la position de l'Église et de celles des scientifiques face à des observations révolutionnaires.
Le film démontre judicieusement combien science et Église sont, au début du XVIIe siècle, intrinsèquement liées : il revient ainsi sur les a priori bien installés de Galilée, accusé d'hérésie par l'Inquisition. L'astronome, dans l'esprit de Copernic, s'appuyait sur des expériences précises lorsqu'il rédigea, à la demande du pape Urbain VIII, le Dialogue sur les deux plus grands systèmes du monde. Or l'Inquisition exige de lui des justifications.
Opposant le savant à ses trois juges, la force de la mise en scène est donc de dénoncer le fossé qui existe entre les observations et la véracité des affirmations. Se joue ici l'habileté d'un propos oratoire qui lutte contre l'absence de preuves concrètes. Tout est ainsi inscrit dans le titre, dans ce « ou » bien inclusif : Galilée avait la prétention de voir réunis Église, science et croyance, que certains nommeront foi. En 90 minutes, bien rythmées pour ménager l'action, le spectateur aura une vision définitivement rationaliste des accusations portées contre Galilée.

 

 

 

 

WONDERS OF THE UNIVERSE

 


Merveilles de l'Univers est une série télévisée 2011 produit par la BBC, Discovery Channel, et Science Channel, organisé par le physicien Brian Cox. Merveilles de l'Univers a d'abord été diffusée au Royaume-Uni sur BBC Two, le 6 Mars 2011. La série comprend quatre épisodes, dont chacun se concentre sur un aspect de l'univers et dispose d'un «miracle» se rapportant au thème. Il fait suite à la série précédente de Cox pour la BBC, Merveilles du système solaire, qui a d'abord été diffusée en 2010.

 

 

«Pourquoi sommes nous ici? Où venons-nous? Ce sont les plus durables de questions. Et c'est une partie essentielle de la nature humaine de vouloir trouver les réponses.
Nous pouvons retracer nos ancêtres depuis des centaines de milliers d'années à l'aube de l'humanité.Mais en réalité, notre histoire s'étend loin, loin dans le temps. Notre histoire commence avec le début de l'univers. Il a commencé à 13,7 milliards d'années, et aujourd'hui, il est rempli de plus d'une centaine de milliards de galaxies, chacune contenant des centaines de milliards d'étoiles.
Dans cette série, je veux raconter cette histoire, parce que finalement, nous faisons partie de l'univers, de sorte que son histoire est notre histoire.
"
La narration d'ouverture Professeur Brian Cox


1. "Destiny"
Dans le premier épisode, Cox considère la nature du temps. Il explore les cycles du temps qui définissent la vie des humains sur la terre, et les compare à des cycles de temps à l'échelle cosmique. Cox aborde également la 2ème loi de la thermodynamique et de son effet sur le temps, et la théorie mort thermique concernant la fin de l'univers.


2. "Stardust"
Dans cet épisode, Cox examine les éléments de laquelle tous les êtres vivants, humains compris, sont faites. Il explique comment ces éléments sont liés aux cycles de vie des étoiles et le recyclage de la matière dans l'Univers.


3. "Falling"
Cet épisode démontre comment la gravité a un effet à travers l'Univers, et comment la force relativement faible crée une orbite. Nous voyons aussi comment la gravité une étoile à neutrons fonctionne. Enfin, il ya un regard rétrospectif sur la manière dont la recherche sur la gravité nous a permis de mieux comprendre le cosmos.


4. "Messagers"
Le dernier épisode montre comment les propriétés uniques de lumière donnent un aperçu sur les origines et le développement de l'humanité et l'univers. Nous voyons aussi comment la vitesse de la lumière est à la fois une mesure du temps et de distance. Cela conduit à identifier l'un des événements précoces de l'évolution de la vie.

 

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WONDERS OF THE SOLAR SYSTEM

 


Merveilles du système solaire est un primé 2010 série télévisée co-produite par la BBC et de la ScienceChannel, et accueilli par le physicien Brian Cox. Merveilles du système solaire a été diffusé au Royaume-Uni sur BBC Two, le 7 Mars 2010. La série comprend cinq épisodes, dont chacun se concentre sur un aspect du système solaireet dispose d'un «miracle» se rapportant au thème. La série a été décrite comme l'une des plus réussies pour apparaître sur BBC Two, ces dernières années [1].
Le 31 Mars 2011, la série a remporté le prestigieux George Foster Peabody Award pour l'excellence enréalisation de films documentaires.
 

"Nous vivons sur un monde de merveilles. Un endroit d'une beauté étonnante et la complexité. Nous avons de vastes océans et des conditions météorologiques incroyables. Monts des Géants et des paysages époustouflants.
Si vous pensez que c'est tout ce qu'il est, que notre planète existe dans l'isolement magnifique, alors vous avez tort. Nous faisons partie d'un écosystème plus large, qui s'étend bien au-delà du sommet de notre atmosphère.
En tant que physicien, je suis fasciné par la façon dont les lois de la nature qui ont façonné tout cela, aussi façonné les mondes au-delà de notre planète.
Je pense que nous vivons le plus grand âge de la découverte de notre civilisation a connu. Nous avons voyagé jusqu'aux confins du système solaire. Nous avons photographié de nouveaux mondes étranges, se tenait dans des paysages familiers, goûté l'air étranger.
"
- Professeur Brian Cox


1. "Empire du Soleil"


Le premier épisode illustre la façon dont la formation et le comportement du Soleil affecte chaque planète du système solaire. Durant cet épisode, Cox en visite en Inde pour voir et expliquer le fonctionnement d'une éclipse solaire totale. L'aurore boréale est également considéré en Norvège et une explication de la puissance du Soleil se produit dans Death Valley, Californie, Etats-Unis.
2. "Ordre dans le chaos"
Cox commence cet épisode dans Al-Kairouan, Tunisie, afin d'analyser l'orbite des planètes autour du Soleil, avec des détails sur la façon dont l'inclinaison de la Terre crée les saisons. Il visite aussi les montagnes de l'Atlas et fournit une explication de la façon dont nous voyons l'orbite de Mars. Cet épisode donne également un aperçu sur les anneaux de Saturne et les geysers d'Encelade, y compris les images présentées comme vu de la sonde spatiale Cassini-Huygens.


3. "The Thin Blue Line"


Le troisième épisode se penche sur l'atmosphère des planètes et des lunes du Système Solaire, avec la Terre, Mars et Titan, étant le foyer principal. L'épisode commence avec Cox prenant un voyage dans un éclair électrique anglaise piloté par «Mike Beachy Head" jusqu'à une altitude "entre 55 et 60 mille pieds" où le "minceur et la fragilité" de l'atmosphère a pu être observé dans le milieu de la jour la transition "de la lumière bleue au bleu foncé au noir". Plus tard, le désert du Namib est vu et utilisé pour donner une explication sur la façon dont la Terre conserve sa température, ainsi que des comparaisons faites à destination de Mars. Un regard en profondeur sur Titan est vu avec images diffusées par la descente sonde Huygens vers la surface de la lune.


4. "Dead or Alive"


Le quatrième épisode commence au Grand Canyon, Arizona, Etats-Unis, et les comparaisons immédiates sont attirés vers Mars et la Valles Marineris. Un voyage au Kilauea à Hawaii montre l'activité géologique de la Terre, et à nouveau une comparaison avec Mars et Olympus Mons est vu. Une analyse de l'effet gravitationnel de Jupiter est donné avec la façon dont elle pourrait envoyer un astéroïde sur une trajectoire de collision avec la Terre. La même force gravitationnelle est également montré à donner la lune jovienne Io vie géologique.


5. "Aliens"


Le dernier versement couvre la vie de survivre dans des environnements extrêmes, et comment la recherche de vie sur d'autres mondes suit la quête de l'eau, en se concentrant sur Mars et sur Europa lune de Jupiter. Cox commence en voyageant vers l'océan profond d'établir des comparaisons entre les voyages dans l'espace. Le désert d'Atacama en Amérique du Sud est également considérée, ce qui est vu pour expliquer le manque de vie qu'on y trouve. Un voyage à la Scablands dans le nord-ouest de l'Amérique est aussi faite avec une explication des inondations Missoula qu'une fois survenus il ya, et comment elle a façonné le paysage géologique. Plus d'examens de la vie viennent avec un voyage au Mexique et comment la vie survit dans des grottes.

 

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HAWAIIAN STARLIGHT - Exploration de l'univers depuis le Mauna Kea

 

Le sommet du Mauna Kea, un volcan hawaïen inactif culminant à 4200 mètres d'altitude, est l'un des meilleurs sites astronomiques au monde. Ce film offre une vision artistique de la connexion entre la montagne et l'Univers au travers d'une cinématographie à temps accéléré accompagnée d'une superbe musique (sans narration). De spectaculaires séquences diurnes et nocturnes de paysages hawaïens et du Mauna Kea s'enchaînent à des images de toute beauté du Cosmos, en vraies couleurs, capturées par le Télescope Canada-France-Hawaii situé au sommet du Mauna Kea. Ce film a été créé au fil de 7 années et ne contient pas d'images de synthèse ou d'effets spéciaux.

 

Crédits :

 

Un film de Jean-Charles Cuillandre
Musique (Halo) de Martin O'Donnell et Michael Salvatori
Images astronomiques du CFHT par Jean-Charles Cuillandre (CFHT) & Giovanni Anselmi (Coelum)
Technologie digitale (film) par Sidik Isani

 

Plus d'informations ici : http://www.cfht.hawaii.edu/HawaiianStarlight/trailer-FR.html

 

Disponible à l'achat sur la boutique d'astronomie magazine :

http://www.astronomie-magazine.fr/produit/dvd.php

 

 

 

 

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MOON Gerty

 


Titre original : Moon
Réalisation : Duncan Jones
Scénario : Nathan Parker et Duncan Jones d'après son histoire
Pays d'origine : Royaume-Uni
Langue originale : anglaise
Musique : Clint Mansell
Durée : 97 minuntes
Dates de sortie :
23 janvier 2009 (Première séance au Festival du film de Sundance)
, 12 juin 2009
17 juillet 2009

Moon est un film de science-fiction britannique co-écrit et réalisé par Duncan Jones sur le scénario de Nathan Parker d'après l'histoire originale du réalisateur, mettant en scène Sam Rockwell dans le rôle principal de Sam Bell et Kevin Spacey dans la voix de Gerty le robot. Distribué par Sony Pictures Classics, ce film est présenté pour la première fois au Festival du film de Sundance le 23 janvier 2009, puis sorti le 12 juin 2009 aux États-Unis et au Canada, le 17 juillet 2009 au Royaume-Uni.
En France, Moon n'a jamais été projeté dans les salles sauf au Festival international du film fantastique de Gérardmer le 29 janvier 2009, mais est sorti uniquement en DVD et Blu-ray le 16 juin 2010.
Ce film a reçu une assez bonne critique au Festival du film de Sundance entre autres, a reçu le prix du jury et le prix du public au Festival du film fantastique de Gérardmer 2010, est considéré comme meilleur film indépendant britannique au 12e cérémonie des British Independent Film Awards et a gagné le prix de British Academy of Film and Television Arts en 2010. Le film sera projeté au Festival "Under my screen", festival du film anglais et irlandais d'Ajaccio (4 au 12 décembre 2010).

Sam Bell (Sam Rockwell) est un employé de la société Lunar, entreprise d'extraction d'hélium 3. Cette ressource clé répond à la crise énergétique grandissante sur Terre tout en fournissant une énergie propre. L'hélium 3 n'est récupérable que dans la régolithe (poussière lunaire), ce qui a imposé à Lunar de bâtir une station spatiale lunaire très automatisée dont un employé a la surveillance. Sam y est en poste avec pour seul compagnon Gerty, un ordinateur mobile doté de la parole. Arrivant à la fin de son contrat de trois ans, il s'apprête à achever sa longue mission en solitaire et à retrouver sa famille mais, petit à petit, il est pris d'hallucinations.

 

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CONTACT

 


Titre : Contact
Réalisation : Robert Zemeckis
Scénario : James V. Hart et Michael Goldenberg, d'après le roman Contact, de Carl Sagan
Production : Steve Starkey, Robert Zemeckis, Ann Druyan, Carl Sagan, Joan Bradshaw et Lynda Obst
Société de production : Warner Bros. Pictures
Budget : 90 millions de dollars (68,30 millions d'euros)
Musique : Alan Silvestri
Photographie : Don Burgess
Montage : Arthur Schmidt
Décors : Ed Verreaux
Costumes : Joanna Johnston
Pays d'origine : États-Unis
Format : Couleurs - 2,35:1 - DTS / Dolby Digital / SDDS - 35 mm
Genre : Science-fiction
Durée : 153 minutes
Dates de sortie : 11 juillet 1997 (Canada, États-Unis), 17 septembre 1997 (Belgique, France), 19 septembre 1997 (Suisse)
 

Contact est un film américain réalisé par Robert Zemeckis, sorti en 1997, et adapté du roman éponyme de Carl Sagan.

Dr. Eleanor "Ellie" Arroway (Jodie Foster) est une scientifique talentueuse, qui a été encouragée à poursuivre ses passions pour la radio-télécommunication et l'astronomie par son père Theodore (David Morse) qui meurt alors qu'elle n'était âgée que de 9 ans. Elle travaille pour le programme SETI à l'observatoire d'Arecibo au Porto Rico, recherchant avec ses collègues des signaux radios d'origine extra-terrestre. Toutefois, le scientifique gouvernemental David Drumlin (Tom Skerritt) coupe le financement du programme SETI qu'il juge futile. Arroway obtient un financement du milliardaire S.R. Hadden (John Hurt) pour continuer son travail de recherche au Very Large Array situé au Nouveau-Mexique.
Quatre ans plus tard, le projet est encore menacé de fermeture mais Arroway découvre un signal important qui reproduit une séquence de nombres premiers, provenant d'un secteur autour de l'étoile Véga à 26 années-lumière de la Terre. L'annonce de la découverte provoque Drumlin et le Conseil de sécurité nationale dirigé par Michael Kitz (James Woods) à prendre le contrôle du centre. L'équipe du projet découvre une vidéo cryptée dans le signal qui est celle d'un discours d'Adolf Hitler lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques d'été de 1936 à Berlin. Avec la stupeur qui s'ensuit, Arroway et son équipe soutiennent qu'il s'agissait alors de la première transmission télévisée susceptible d'avoir quitté l'atmosphère terrestre, et qu'elle a été innocemment renvoyé depuis Véga à la Terre pour signaler sa réception.
Les découvertes sont suivies mondialement et alors que le président Bill Clinton et Drumlin s'adressent dans un communiqué télévisé, Arroway apprend que le message contient également toute une série de dessins techniques. Les efforts pour décoder ces images sont infructueuses. Mais le milliardaire Hadden y parvient en les analysant de manière tridimensionnelle et en informe Arroway qui expose alors les résultats aux membres gouvernementaux : il s'agit de plans de constructions d'une machine monumentale et complexe, qui consiste en une capsule contenant un seul homme qui est lâchée dans trois gigantesques anneaux en rotation rapide.
Tous les pays du monde financent la construction de cette machine au Cap Canaveral. Un jury international est créé pour choisir le meilleur candidat pour représenter l'humanité dans l'expédition, Drumlin et Arroway sont des prétendants. Si Arroway est bien placée pour être choisie, son manque de foi religieuse est notée par son ami et ancien amant Palmer Joss (Matthew McConaughey), alors un membre du jury et fervent chrétien. Drumlin est donc sélectionné, mais le jour du lancement, un fanatique religieux détruit la machine lors d'un attentat-suicide, tuant Drumlin et les autres techniciens présents. Arroway apprend ensuite qu'une deuxième machine a été construite secrètement à Hokkaidō au Japon, et elle est choisie pour partir grâce à l'influence de Hadden.
Arroway commence alors son expédition et elle est munie d'appareils d'enregistrement. Après lancement, sa capsule traverse une série de trous de ver et elle observe également des systèmes solaires et des constructions dignes d'une civilisation avancée. Elle se retrouve ensuite dans un paysage tropical surréaliste qui s'avère artificiel, et un personnage à l'image de son défunt père vient à sa rencontre. Elle comprend qu'il n'est pas réellement son père, mais un extra-terrestre. Sa forme et le contexte ont été choisis pour rendre la rencontre plus facile pour Arroway. Après quelques questions de Arroway qui n'obtient que des réponses évasives, l'extra-terrestre lui explique qu'il ne s'agissait que d'une première étape de la rencontre entre eux et l'humanité, puis il la réexpédie sur Terre.
Arroway se retrouve dans la capsule sur Terre, et apprend que du point de vue terrestre la capsule n'a fait que traverser en quelques secondes les anneaux de la machine, alors que pour elle l'expérience a duré environ 18 heures. Les images de sa caméra ne montrent que des parasites. Elle est alors accusée d'avoir été victime d'hallucinations et Kitz considère que le projet entier n'était qu'un canular élaboré, du désormais défunt milliardaire Hadden. Arroway demande à ses interlocuteurs qu'ils aient foi en son témoignage. On voit ensuite Kitz et la Chef de cabinet de la Maison Blanche Rachel Constantine (Angela Bassett) discuter du fait que les parasites enregistrés par la caméra d'Arroway durent environ 18 heures. À Arroway est accordé un financement continu pour son programme SETI au Very Large Array.

 

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SUNSHINE

 


Titre : Sunshine
Titre original : Sunshine
Titre québécois : Les Derniers Rayons du soleil
Réalisation : Danny Boyle
Scénario : Alex Garland
Production : Andrew MacDonald, Bernard Bellew et Mark Tildesley
Sociétés de production : DNA Films et Fox Searchlight Pictures
Sociétés de distribution : 20th Century Fox
Budget : 50 millions de dollars
Photographie : Alwin H. Kuchler
Décors : Michelle Day
Musique: John Murphy et Underworld
Montage : Chris Gill
Pays d'origine : Royaume-Uni
Format : Couleur - 2,35:1 - 35mm - DTS / Dolby Digital EX / SDDS
Genre : Science-fiction, thriller
Durée : 100 minutes
Dates de sortie :
Royaume-Uni : 6 avril 2007
France : 11 avril 2007

 

 

Sunshine, ou Les Derniers Rayons du soleil au Québec, (Sunshine) est un film de science-fiction britannique réalisé par Danny Boyle, sorti en 2007.

En 2057, le Soleil meurt en s'éteignant progressivement. Un vaisseau avec un équipage de huit astronautes est envoyé dans l'espace pour tenter de le rallumer. Cette mission, Icarus II, a pour but d'expédier une charge thermonucléaire d'une masse équivalente à l'île de Manhattan, au cœur du soleil afin de le « rallumer ». Sept ans plus tôt, l'humanité avait essayé, mais ce fût un échec avec la disparition mystérieuse d'Icarus I, le premier vaisseau envoyé dans cet objectif. Cette deuxième mission est le dernier espoir de l'Humanité car elle a épuisé toutes les matières fissibles de la Terre lors de la fabrication de la bombe.
À proximité de Mercure, l'officier des communications capte un signal de détresse, apparemment d'Icarus I, 7 ans après sa disparition.

 

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MISSION TO MARS

 


Réalisation Brian De Palma
Scénario Jim Thomas, John Thomas
Graham Yost
Costumes Sanja Milkovic Hays
Musique Ennio Morricone
Production Tom Jacobson
Société(s) de production Walt Disney Pictures
Société(s) de distribution Buena Vista Entertainment
Budget 90 millions $
Pays d'origine États-Unis
Durée 113 minutes
Sortie États-Unis : 10 mars 2000
France : 12 mai 2000
 

  

Mission to Mars (ou Mission sur Mars au Québec) est un film de science-fiction américain réalisé en 2000 par Brian De Palma. Il retrace une mission spatiale sur la planète Mars.
Le film étoffe l'histoire d'une attraction éponyme des parcs Disneyland, maintenant fermée. Des éléments de décors du tournage sont exposés dans Mission : Space.

2020. Une nouvelle ère de l'histoire spatiale s'ouvre : la première mission américaine débarque sur Mars. Mais quelques heures après s'être posé sur la planète, l'équipage de Mars One est confronté à un phénomène d'une violence terrifiante. Un SOS est alors envoyé avant que le silence ne retombe sur l'astre mort. La NASA organise en hâte une nouvelle expédition...

 

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SOLARIS

 


Titre : Solaris
Réalisation : Steven Soderbergh
Scénario : Steven Soderbergh d'après le roman éponyme de Stanislas Lem
Production : James Cameron, Jon Landau, Rae Sanchini, Charles V. Bender et Michael Polaire
Sociétés de production : Twentieth Century Fox et Lightstorm Entertainment
Budget : 47 millions de dollars
Musique : Cliff Martinez
Photographie : Steven Soderbergh (sous le pseudonyme de Peter Andrews)
Montage : Steven Soderbergh (sous le pseudonyme de Mary Ann Bernard)
Décors : Philip Messina
Costumes : Milena Canonero
Pays d'origine : États-Unis
Format : Couleurs - 2,35:1 - Dolby Digital - 35 mm
Genre : Science-fiction, drame
Durée : 99 minutes
Dates de sortie : 19 novembre 2002 (première), 27 novembre 2002 (États-Unis), 19 février 2003 (France)
 

  

Solaris est un film américain réalisé par Steven Soderbergh, sorti en 2002, inspiré du roman éponyme de Stanislas Lem et du film d'Andreï Tarkovski de 1972.

Chris Kelvin (George Clooney), psychologue, est appelé au secours par un de ses amis parti en observateur dans une station en orbite autour de la planète Solaris. Celle-ci semble avoir une étrange influence sur les scientifiques de la station qui ne répondent plus aux appels. N'ayant rien à perdre, Chris s'y rend à son tour. À son arrivée, il découvre que son ami est mort, après s'être vraisemblablement suicidé. Rapidement, il est victime à son tour d'hallucinations : sa femme, décédée plusieurs années plus tôt, lui rend visite. Ne s'étant pas encore remis de sa disparition, il trouve peut-être là l'occasion d'une rédemption.

 

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ARMAGEDDON

 

Réalisateur : Michael Bay
Scénaristes : Jonathan Hensleigh et J. J. Abrams
Producteur : Jerry Bruckheimer
Production : Touchstone Pictures, Jerry Bruckheimer Films
Photographie : John Schwartzman
Musique : Aerosmith, Hans Zimmer, Trevor Rabin et Harry Gregson-Williams
additionnelle : Steve Jablonsky, John Van Tongeren, Don Harper, Martin Tillman et Justin Caine Burnett
Décors : Michael White
Genre : Catastrophe, science-fiction
Durée : 145 minutes
 

Armageddon est un film américain réalisé par Michael Bay et sorti en 1998.

La navette Atlantis est détruite par une pluie de météorites, une autre pluie de météorites détruit New York, Shanghai est détruite par un tsunami suite à la chute d'une météorite, et Paris n'est pas non plus été épargnée par un de ces fragments. Ces fragments viennent d'un astéroïde qui se dirige vers la Terre à la vitesse de 35 000 kilomètres à l'heure. Il ne reste plus que 18 jours avant le choc fatal. Dan Truman, le directeur de la NASA, décide alors l'opération de la dernière chance : envoyer une équipe dans l'espace qui se poserait sur l'astéroïde, afin d'y forer un puits dans lequel serait insérée une charge nucléaire. Pour mettre au point cette expédition, il fait appel à Harry S. Stamper (Bruce Willis), le plus grand spécialiste au monde de forage pétrolier. Mais personne dans son équipe de têtes brûlées et haute en couleurs n'a les capacités d'un astronaute.

De leurs noms originaux Independence et Freedom, ce sont les deux navettes spatiales que la NASA envoie sur l'astéroïde avec à son bord l'équipe des foreurs menés par Harry Stamper. Censés être un projet top secret mené de front avec l'US Air Force, ces "X-71" (modèle naturellement imaginaire) sont décrits comme les plus résistants des véhicules spatiaux conçus à ce jour, sur l'image des navettes spatiales américaines d'origine mais dans un format toutefois plus grand et avec une armature renforcée de titane. Ce qui n'empêchera pas les lourdes pertes de cette expédition de la dernière chance ; dans l'ordre :
Le lieutenant Halsey, Tucker, le colonel Davis, Oscar Choi et Freddy Noonan dans le crash de l'Indépendance, dès l'arrivée sur l'astéroïde. Halsey et Tucker sont éjectés du vaisseau depuis la vitre avant, percée par des micro-météorites, et rebondissent sur la carlingue du Liberté, l'autre vaisseau. Oscar Choi percute violemment l'habitacle après que son siège se soit décroché avec le choc du crash, ce qui fissure son casque.
Gruber, lors d'une pluie de météorites sur l'astéroïde lui-même, alors exposé en plein soleil
Max Lenner, suite à un dégazage de la fissure qu'il forait (le Scarabée avec lequel il travaillait est également soufflé par le choc)
Harry Stamper enfin, qui sacrifie sa personne en restant sur l'astéroïde après le départ de l'équipage, afin d'actionner la bombe nucléaire ; en effet la pluie de météorites a détruit le système de mise à feu à distance de celle-ci.

 

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DEEP IMPACT

 


Titre : Deep Impact
Titre québécois : L'Impact
Réalisation : Mimi Leder
Scénario : Bruce Joel Rubin et Michael Tolkin
Production : Joan Bradshaw, David Brown, Walter F. Parkes, Steven Spielberg et Richard D. Zanuck
Sociétés de production : DreamWorks SKG et Paramount Pictures
Budget : 75 millions de dollars (56,9 millions d'euros)
Musique : James Horner
Photographie : Dietrich Lohmann
Montage : Paul Cichocki et David Rosenbloom
Décors : Leslie Dilley
Costumes : Ruth Myers
Pays d'origine : États-Unis
Format : Couleurs - 2,35:1 - DTS / Dolby Digital / SDDS - 35 mm
Genre : Catastrophe, science-fiction
Durée : 120 minutes
Dates de sortie : 7 mai 1998 (première au Mexique), 8 mai 1998 (Canada, États-Unis), 27 mai 1998 (Belgique, France, Suisse romande).
  

Deep Impact est un film américain réalisé par Mimi Leder, sorti en 1998.

Leo Biederman, quatorze ans, est élève du club d'astronomie de son lycée. Il prend une photo du ciel étoilé à travers son télescope et découvre sans le savoir une comète qui se dirige vers la Terre. Prévenu, le président des États-Unis fait appel à un ancien astronaute, Spurgeon Tanner, qui est chargé de diriger une mission internationale à bord du vaisseau expérimental Messiah. Ils doivent se poser sur la comète et tenter, par des charges nucléaires, de la dévier de sa trajectoire. Sur Terre, le cataclysme imminent suscite les réactions les plus extrêmes car la collision entre la comète et la planète Terre pourrait signifier la fin du genre humain, animal, ainsi que la fin des arbres, des plantes et de la plus grande partie de ce qui existe sur la planète mais aussi la comète elle-même.

 

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APOLLO 13

 

Titre : Apollo 13
Réalisateur: Ron Howard
Scénario: William Broyles Jr. et Al Reinert
Producteur: Brian Grazer
Musique: James Horner
Photographie: Dean Cundey
Montage : Daniel P. Hanley et Mike Hill
Studio: Universal
Date de sortie :
États-Unis : 8 juin 1995
France : 8 novembre 1995
Pays : États-Unis
Durée : 160 minutes

 


Tiré de l'histoire vraie d'Apollo 13, la mission Apollo 13 comprend pour équipage Jim Lovell (l'astronaute le plus expérimenté de la NASA), Fred Haise et Jack Swigert. Treizième mission du programme Apollo, le départ de cette troisième mission habitée vers la Lune a lieu le 11 avril, à exactement 13 h 13. Le décollage est une réussite malgré une coupure du réacteur n°5. Mais le 13 avril, à 21 h 7, James Lovell alerte le centre de la NASA, à Houston : une explosion à bord de l'engin détruit un réservoir d'oxygène et endommage l'autre réservoir ainsi que plusieurs piles à combustible. Le réacteur principal (SPS) du module de commande (CSM) a peut-être été endommagé, ce qui oblige le contrôle de mission à retenir une trajectoire de retour en passant par une orbite lunaire pour le retour vers la Terre. La perte d'alimentation provoquée par l'explosion va obliger les astronautes à couper tout consommateur d'électricité à bord les laissant ainsi sans guidage.

 

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L'ETOFFE DES HEROS

 

Titre original The Right Stuff
Réalisation Philip Kaufman
Acteurs principaux Fred Ward
Dennis Quaid
Ed Harris
Scott Glenn
Sam Shepard
Barbara Hershey
Lance Henriksen
Veronica Cartwright
Jane Dornacker (en)
Scénario Philip Kaufman
Tom Wolfe (livre)
Production Irwin Winkler
Société(s) de distribution Warner Bros. Entertainment
Budget 27 millions de $
Pays d'origine États-Unis

 

 

L'Étoffe des héros retrace l'épopée des pilotes d'essais américains d'après-guerre, du passage du mur du son par Chuck Yeager aux premiers vols spatiaux habités. Ce film retrace la vie de ces aviateurs fougueux dans le contexte de la guerre froide naissante, et le parcours de certains d'entre eux, qui seront sélectionnés pour devenir les premiers américains à aller dans l'espace. Ce seront les astronautes du programme spatial Mercury, qui fut le premier pas de la conquête de l'espace américaine.

Le Muroc Army Air Field en 1947 est le décor du début du film. Cette base de l'Air Force poussiéreuse des zones arides est l'endroit où des avions les plus rapides sont mis à l'essai dans le secret, y compris l'avion-fusée X-1, sur le point de voler à des vitesses supersoniques. Alors qu'un certain nombre de pilotes d'essai ont trouvé la mort dans la tentative de dépasser ce que l'on appelle le « mur du son », l'officier de liaison de base, le héros de guerre Chuck Yeager (Sam Shepard) se voir offrir la chance de piloter le X-1. Pendant une course poursuite à cheval avec son épouse Glennis (Barbara Hershey), dans les sous-bois entourant la base, Yeager chute et souffre de quelques côtes cassées. Refusant d'admettre la défaite, il part (avec l'aide d'un manche à balai scié) et dépasse sur le X-1 la vitesse du son, battant le « démon du ciel ».
On avance en 1953, où Edwards Air Force Base (rebaptisée ainsi en la mémoire d'un des pilotes d'essai qui y perdit la vie) reste l'endroit idéal pour les premiers pilotes comme Yeager, engagé dans un concours de vitesse avec le pilote d'essai Scott Crossfield (Scott Wilson). Crossfield et Yeager ont été dans une intense, mais conviviale rivalité pour les records de vitesse et d'altitude. Edwards est à la fois un lieu très différent et cependant reste le même grâce au célèbre Happy Bottom Riding Club dirigé par Pancho Barnes (Kim Stanley) toujours le lieu de rassemblement de ceux qui ont « l'étoffe ».
Les nouveaux pilotes tels que Gordon « Gordo » Cooper (Dennis Quaid) et Virgil « Gus » Grissom (Fred Ward) font partie d'un flux constant de « pudknockers » comme Barnes les appelle1. L'épouse de Cooper, Trudy (Pamela Reed) s'interroge sur la nécessité de repousser toujours plus loin les limites du danger, mais est résignée au fait que son mari, comme tous les autres, est motivé par l'ambition et court après la gloire. D'autres femmes de pilotes, qui partagent les mêmes sentiments, doivent apprendre à réprimer leurs craintes. Déjà, la presse est présente en arrière-plan, reconnue comme un élément majeur pour s'assurer que les sources de financement ne tariront pas.
En 1957, le lancement historique par l'Union soviétique du satellite Spoutnik plonge le monde scientifique et l'armée américaine dans le chaos. Hommes politiques et chefs militaires chargent la NASA de mettre au point une réponse pour ce que l'on pressent être la « course à l'espace » avec l'URSS. La recherche des premiers Américains dans l'espace exclut les pilotes d'essai comme Yeager, que la perspective d'être du « SPAM-in-a-can » (le SPAM est du jambon en boîte) n'intéresse pas. Les sept astronautes du programme Mercury qui se dégagent d'une sélection exténuante incluent des rivaux de l'US Marine Corps John Glenn (Ed Harris) et le pilote de l'US Navy Alan Shepard (Scott Glenn), ainsi que des pilotes de l'US Air Force comme Gordon Cooper, Grissom et les autres. Les dangers du vol spatial sont mis en avant alors que les premiers essais de lancement (inhabités) échouent les un après les autres.
Pour obtenir une écoutille et un hublot sur la capsule, de même qu'un minimum de contrôle sur le vol, les astronautes confrontent les directeurs du programme, menaçant de faire des révélations à la presse, avec l'argument « no bucks, no Buck Rogers »2 (« pas d'argent, pas de Buck Rogers »).
Puis vient la chronique des missions Mercury de Shepard, Grissom, Glenn et Cooper. Quand « Gus » Grissom, deuxième astronaute à être envoyé dans l'espace, amerrit et sort de son vaisseau spatial (l'ouverture de l'écoutille, non prévue, a causé l'inondation puis la perte de la capsule), le sauvetage de l'enregistrement contenu dans la capsule semble plus important pour l'équipe de récupération que le sauvetage du pilote, en raison de la valeur des données (la théorie voulant que Grissom ait déclenché les événements qui ont causé la perte de sa capsule s'est révélée fausse beaucoup plus tard).
Les deux côtés (États-Unis et URSS) dans la course à l'espace ont utilisé des ingénieurs allemands expérimentés et des spécialistes en fusée. À un moment particulièrement drôle dans le film, le sénateur Lyndon Johnson participe à une réunion où les hommes politiques réagissent à l'annonce du lancement de Spoutnik de 1957. Le sénateur Johnson demande : « Est-ce leurs scientifiques allemands qui les [les Soviétiques] ont amenés là en premier ? ». À ce moment-là, le « scientifique allemand » (un caractère composite, fortement inspiré de Wernher von Braun) répond : « Non sénateur... nos Allemands sont meilleurs que leurs Allemands. » Plus tard, Johnson, devenu président, continue l'initiative du président Kennedy de rester en tête de la course à l'espace, et il accueille à Houston, Texas, le nouveau siège de la NASA (déplacé sous l'influence de Johnson, dont c'est l'État d'origine), une fête qui met en lumière les aspects surréalistes de la compétition.
L'aventure Mercury contraste avec les événements à la base Edwards où des pilotes d'essai tels que Yeager, qui a été exclu du programme de la NASA après que des fonctionnaires eurent décidé de n'employer que des pilotes diplômés d'université, continuent leur travail dangereux. Au cours d'un essai d'un nouveau Lockheed NF-104A, hybride entre une fusée et un avion, Yeager établit un nouveau record d'altitude, aux frontières de l'espace, mais est gravement brûlé et frôle la mort dans une éjection à grande vitesse de son appareil hors de contrôle.
Le film se poursuit par le lancement et la mise en orbite de la mission de Glenn et Cooper. L'atmosphère générale de la concurrence dans un contexte de guerre froide s'infiltre dans les tensions de la vie familiale des astronautes. Entre autres, l'épouse de Glenn, Annie (Mary Jo Deschanel) a eu un moment particulièrement difficile sous le feu des médias, en raison de son bégaiement inné. John Glenn finit par intervenir pour la protéger de la pression médiatique, dont chaque moment du film souligne l'omniprésence par le bourdonnement des caméras et bruits de flashs.
Le film se termine par un épilogue qui indique ce que sont devenus les personnages principaux après les événements relatés par le film.

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K PAX  


Titre original K-PAX
Réalisation Iain Softley
Acteurs principaux Kevin Spacey
Jeff Bridges
Scénario Gene Brewer
Charles Leavitt
Décors John Beard
Costumes Louise Mingenbach
Photographie John Mathieson
Montage Craig McKay
Musique Ed Shearmur
Production Laurence Gordon
Lloyd Levin
Robert F. Colesberry
Société(s) de distribution Universal Pictures
Budget 48 000 000 $
Pays d'origine États-Unis
Allemagne
Langue(s) originale(s) anglais
Durée 121 minutes
Sortie 26 octobre 2001

 

 

Comment aider un patient singulier est la question que se pose le psychiatre Mark Powell. M. Prot, de son nom, s'imagine venir de la planète K-PAX et ne démord pas de ses affirmations loufoques. À titre de directeur de l'hôpital psychiatrique, Mark en a vu des cas de dédoublement de personnalité dans sa carrière. Mais, pour il ne sait quelle raison, le cas Prot l'intrigue et il veut en connaître davantage sur cet homme aux hallucinations d'extraterrestres. 

En fait, au fur et à mesure de ses entretiens avec lui, il en vient à se demander s'il n'y aurait pas un fond de vérité à l'histoire de Prot. Car, depuis l'arrivée à l'hôpital de ce dernier, des choses inusitées se produisent. Des patients avec qui Prot se tient et discute sont aujourd'hui en phase de guérison, alors que les spécialistes ne prédisaient pas de guérison imminente de leur maladie mentale. De plus, les propres barrières émotives que Mark a toujours maintenues et son manque de confiance envers ceux et celles proches de lui ont progressivement disparu. 

Ces changements bénéfiques l'intriguent vraiment. Prot est un patient comme il y en a tant qui a besoin d'aide pour se sortir de la bulle qu'il s'est créé. Et, pourtant, c'est lui qui semble apporter une aide toute simple aux autres. Quel est son véritable secret?

 

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